Zine-Abidine
« C'est une formation vraiment pluridisciplinaire, un mélange très équilibré de maths, d'informatique et d'électronique. Les cours sont dispensés par des professeurs vraiment reconnus, qui publient des papiers et qui font régulièrement des conférences internationales. Les cours sont tous en anglais, ce qui constitue un atout majeur, surtout pour moi qui ai prévu de m'expatrier quelques années au début de ma carrière professionnelle. Cela permet de passer un an à l'étranger puisque pendant toute la deuxième année, nous sommes au Politecnico de Turin. Pendant les trois premières semaines, le Politecnico offre des cours intensifs d'Italien à tous les étudiants étrangers, ce qui nous permet de nous débrouiller rapidement dans la vie quotidienne. Je ne parlais pas du tout l'Italien, maintenant je n'ai plus aucun problème et j'ai une langue de plus sur mon CV.
Grâce à ce master, j'ai pu voir qu'il y avait différents domaines dans les Télécoms. Je me suis intéressé en particulier à une branche de l'électronique, le domaine des radiofréquences, qui m'a énormément plu et vers lequel je pense m'orienter après mon projet de fin d'études. »
Grâce à ce master, j'ai pu voir qu'il y avait différents domaines dans les Télécoms. Je me suis intéressé en particulier à une branche de l'électronique, le domaine des radiofréquences, qui m'a énormément plu et vers lequel je pense m'orienter après mon projet de fin d'études. »
Céline
« Apprendre une autre langue, vivre dans une autre culture, connaître une autre manière de travailler, c'est vraiment intéressant. En Italie par exemple, nous étions beaucoup moins encadrés qu'ici et je pense que cela apprend à avoir plus de recul. Quand nous sommes rentrés en France, les profs étaient contents de la qualité de notre travail parce que nous étions autonomes et que nous avions un recul plus grand.
Cette formation plait aux recruteurs. Montrer que nous sommes partis à l'étranger est un plus, les entreprises sont assez impressionnées par notre niveau d'anglais. Quand j'ai passé mes entretiens, on me l'a dit plusieurs fois. Quand les recruteurs voient notre niveau au TOEIC ou la qualité de notre anglais, ils sont rassurés. Ils préfèrent prendre un ingénieur moins spécialisé mais qui peut comprendre rapidement une documentation variée. »
Cette formation plait aux recruteurs. Montrer que nous sommes partis à l'étranger est un plus, les entreprises sont assez impressionnées par notre niveau d'anglais. Quand j'ai passé mes entretiens, on me l'a dit plusieurs fois. Quand les recruteurs voient notre niveau au TOEIC ou la qualité de notre anglais, ils sont rassurés. Ils préfèrent prendre un ingénieur moins spécialisé mais qui peut comprendre rapidement une documentation variée. »
Jean
« Ce qui m'a motivé, c'est d'abord la possibilité de passer un an à l'étranger mais aussi d'avoir une bourse du Politecnico pour obtenir un diplôme de l'Université de Chicago moyennant des cours supplémentaires et un projet de recherche. Après mon séjour de dix mois à Turin, je suis allé à Chicago au département "Electronics and computer engineering" pour un projet de recherche compté comme équivalent de mon stage de deuxième année Télécom. Je vais faire mon PFE à Rome dans une start-up qui fait de la RFID, c'est un sujet qui a été proposé par l'ambassade de France en Italie.
L'environnement international me plait particulièrement, j'ai rencontré des espagnols, des chinois, des indiens... j'étais en collocation avec un portugais, un italien et un autre français. Tous les cours sont en anglais et de bon niveau et cette formation est clairement appréciée par les entreprises. Quand j'ai passé mes entretiens pour rechercher un PFE, j'ai vu que le fait d'avoir suivi un cursus international était un gros plus.
Autre avantage, je peux profiter de mon diplôme américain pour aller travailler quelques années aux États-Unis. J'aimerais changer de pays régulièrement, rencontrer des gens différents, avec des cultures et des mentalités complètement différentes, c'est vraiment ce que j'aime et le Master CSE va me permettre de le faire. »
L'environnement international me plait particulièrement, j'ai rencontré des espagnols, des chinois, des indiens... j'étais en collocation avec un portugais, un italien et un autre français. Tous les cours sont en anglais et de bon niveau et cette formation est clairement appréciée par les entreprises. Quand j'ai passé mes entretiens pour rechercher un PFE, j'ai vu que le fait d'avoir suivi un cursus international était un gros plus.
Autre avantage, je peux profiter de mon diplôme américain pour aller travailler quelques années aux États-Unis. J'aimerais changer de pays régulièrement, rencontrer des gens différents, avec des cultures et des mentalités complètement différentes, c'est vraiment ce que j'aime et le Master CSE va me permettre de le faire. »
Zine-Abidine
En projet de fin d'études chez STMicroelectronics, à Grenoble
Céline
En projet de fin d'études chez Thalès, à Toulouse
Jean
En projet de fin d'études dans une start-up, à Rome